Pourquoi ?

une galerie d’art qui sort de l’ordinaire

Farani Gallery est une belle histoire d’amitié, née autour d’une même passion : promouvoir et transmettre l’art sous toutes ses formes. De la peinture à l’écriture en passant par des objets parfois très singuliers.

Aucune frontière, aucune limite mais une devise : faire de cette galerie un endroit d’exception qui respire l’excellence et invite au rêve et à l’évasion.

Avec nous, soutenez la création et rejoignez notre communauté des amoureux de l’art.

Peinture de Nadège Demont Poyet

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Jeunes ou plus âgés, vous trouverez tous dans nos différentes collections le bracelet, colliers et ceintures afin de mettre en valeur votre look. Ajouter quelque chose de très spécial à votre personnalité, une belle touche d’élégance, de luxe, de sport ou de tenue décontractée abordable.

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Photo-montage de faranistore

Exposition permanente

Découvrez nos artistes

Nadège Demont-Poyet

Passage entre figuration et abstraction

Nadège Demont-Poyet observe le monde qui l’entoure. Elle s’imprègne des scènes de la rue, des instantanés du quotidien, des paysages. Elle les retranscrit ensuite sur la toile mais en les racontant. Elle aime réécrire la vie des autres en soulignant le caractère à la fois naturel et inachevé. Ses peintures mettent en lumière aussi bien les gens que l’on ne voit pas que les différentes formes de marginalité.

Nadège Demont-Poyet est une artiste française confirmée. Elle est née et a grandi en Bourgogne. Une terre beignée de traditions, connue pour la richesse de son patrimoine artistique et culturel. Depuis toujours, elle a voulu peindre. Toute petite, elle faisait déjà des dessins de mode. Il est vrai qu’elle a vécu dans un monde tourné vers l’art.

C’est tout naturellement que Nadège Demont-Poyet s’est dirigée vers des études artistiques. Elle s’est inscrite aux universités de Saint-Étienne et de Barcelone où elle s’est familiarisée aux différentes disciplines de la branche académique mais aussi contemporaine et elle a obtenu une maîtrise en Arts Plastiques.

L’étudiante rêvait d’être commissaire-priseur. Finalement, c’est la voie professorale qu’elle choisit. L’artiste enseigne aujourd’hui les arts appliqués au lycée de Charolles. Passionnée de design, de mode, multi-collectionneuse, curieuse de tout, elle se réfugie dès qu’elle peut, dans son atelier pour donner vie à de nouvelles créations.


Si Nadège Demont-Poyet puise son inspiration dans la rue, dans son environnement, elle reconnaît qu’elle a été marquée plus particulièrement par différents mouvements comme l’expressionisme américain et les peintures de Jean-Michel Basquiat, Cy Twombly, Antonio López Garcia, Joan Mitchell (les céramiques de Pablo Picasso) … la fascinent.

Les œuvres de l’artiste française témoignent de ce grand écart entre l’abstrait et le figuratif. Un passage entre l’imaginaire et le réel. Pour Nadège Demont-Poyet, l’abstraction n’est qu’un éloignement ou un grossissement d’une chose figurative. « La lecture de la toile ne doit aucunement figer le regard dans une seule direction, mais laisser toute latitude à une ou plusieurs représentations.»

L’artiste cherche aussi à titiller la marginalité de notre société. Elle s’attache au détail. Elle dit volontiers que ces travaux tentent « de mettre en relief notre propre indifférence, souvent involontaire, aux gens différents qui nous entourent et qui, entre solitude et marginalité, perdent progressivement leur identité ». Elle transpose la réalité mais en la recomposant.

En peignant Nadège Demont-Poyet libère ses émotions. C’est une explosion de couleurs, de formes et de traits qui attire immanquablement l’œil du visiteur. Ses œuvres ont été récompensées par plusieurs prix dont notamment celui du public et du jury de la société des Amis des Arts au Salon de Pentecôte de Charlieu (2015 et 2016) et celui des Amis des Arts au Salon de Cours-la-ville (2017).

Si peindre est au cœur de la vie l’artiste, elle a aussi pour vocation de promouvoir la culture. Depuis 2020, elle est adjointe au maire de la ville de Charlieu. Elle est en charge de la culture, du patrimoine, des musées et de la participation à la vie des réseaux et des labels. Elle travaille, entre autres, sur un projet ambitieux porté par la Fédération Européenne des Sites Clunisiens : inscrire au Patrimoine culturel de l’Unesco les sites clunisiens et, elle l’espère, l’abbaye bénédictine de Charlieu, une merveille de l’art roman, construite dans la pierre jaune de la région.

Texte de Anne Dousse

Véronique Reper

Une invitation au voyage vers l’infini

Le parfumeur a un nez très sensible. Véronique Borens-Reper, elle, a un instinct inné, sûr et puissant. Sa peinture se laisse guider par la vague de ses intuitions qui se déversent en flot continu sur ses toiles. Sa peinture est fluide. Elle explore l’infini. Aucune limite. Aucune frontière. Ses lignes horizontales reflètent la douceur de l’instant, le bonheur de la vie. Elle aime les paysages, les objets qui procurent de l’harmonie. Tout ce qui est beau, attire son œil affuté.

Véronique Borens-Reper vient du Plat-Pays comme le chantait Jacques Brel. Née à Bruxelles, elle a troqué les plages de la mer du Nord contre les rives du lac Léman. L’artiste belgo-suisse a grandi avec un crayon ou un pinceau entre les doigts. Elle a commencé par le dessin, puis la peinture s’est imposée tout naturellement. Sans le savoir, elle a peut-être été influencée par cette grand-mère maternelle qui peignait d’une manière très académique. Sa sœur a, elle aussi, été frappée par le virus de la créativité.

Le parcours de l’artiste est riche en expériences et inhabituel. Elle s’est formée conjointement à la peinture en suivant les cours de l’Académie des Beaux-Arts de Watermael-Boisfort en Belgique et ceux de l’Université de Lausanne en psychologie. Véronique Borens-Reper n’est pas seulement peintre mais aussi psychologue du travail. « Je me plais dans l’échange et l’écoute et j’ai en même temps un très grand besoin de créer », avoue la belgo-suisse. Elle a longtemps été tiraillé entre ces deux mondes. Mais aujourd’hui elle les fait cohabiter. Ils lui apportent un formidable équilibre.

Formée auprès des peintres Dominique Rietzler, Christian Roulet et Bernard Dersrousseaux, l’artiste belgo-suisse expose régulièrement dans des galeries aussi bien en Suisse qu’en Belgique ou même à New York : aux Murs porteurs de Lausanne et à l’Espace Saint François, au Chapitre XII à Bruxelles, au White art Walk à Rosières, au Bilboquet dans la cité de la grande Pomme. Et bien d’autres encore.

Même si Véronique Borens-Reper est attirée par les peintres figuratifs, son sens de la créativité explose dans l’abstrait. « Il y a davantage de liberté. Les formes ne sont pas délimitées. Je me sens plus libre, plus curieuse, plus ouverte au monde. Vous n’êtes pas dans la maîtrise. Vous êtes en déséquilibre. C’est le lâcher-prise. La magie de l’abstrait », explique la belgo-suisse qui n’éprouve pas la nécessité de mettre des mots sur ses peintures.

L’artiste peint le plus souvent dans son atelier lausannois, baignée d’une belle lumière. « Mes compositions picturales se font libres et intuitives, laissant souvent deviner des horizons, des montagnes, l’infini ou encore des univers organiques libres de toutes interprétations », explique Véronique Borens-Reper. Allusion sans doute au Plat pays, une région sans relief, une impression vague, de flou, où le charme et la mélancolie se mêlent à l’âpreté des paysages du Nord.

Si Véronique Borens-Reper a commencé la peinture avec la technique des spatules, elle applique aujourd’hui la méthode des glacis. « Appuyés par des procédés mixtes mais surtout par l’acrylique, mes fondus de tons sont rendus par l’usage de glacis, fines couches de couleurs superposées l’une sur l’autre », souligne l’artiste qui danse si bien avec les couleurs. La transparence et la fluidité qui apparaissent dans ses toiles transmettent ainsi des compositions habitées et vivantes.

2024 : Farani Gallery, exposion collective, Fribourg – Suisse
2023 : Murs porteurs, Lausanne – Suisse
2021 : Galerie Art Emotions, Lausanne – Suisse
2019 : White art Walk, Rosières – Belgique
2017 : Vicario Consulting, Lausanne – Suisse
2015 : Randonnées des artistes, Rosières – Belgique
2014 : Espace Saint François, Lausanne – Suisse
2011 : Raccourt, Lausanne – Suisse
2008 : Galerie d’(A), Lausanne – Suisse
2005 : Alain Sauty et Charles Seydoux, Lausanne – Suisse
2003 : Chapitre XII, Bruxelles – Belgique
2001 : Bilboquet, New-York – USA
1992 : Kunstmuseum, sélection au Concours d’entrée des « Jeunes artistes » Bâle – Suisse

Texte de Anne Dousse

Bernard Waeber

Le professeur aux mille vies

Un professeur de médecine aux mille vies. C’est ce qui caractérise le mieux Bernard Waeber. Si ce Fribourgeois est avant tout connu pour ses travaux dans le domaine de l’hypertension artérielle, il est en train de frapper à la porte des cercles prisés de la poésie et de la peinture. Avec ses créations, il aspire en effet à ouvrir de nouveaux chemins dans un monde de plus en plus fracturé. Donner un sens à ce qui nous entoure, avec en filigrane une rigueur intellectuelle implacable.

Au premier abord, ce qui frappe chez Bernard Waeber, c’est sa grande humilité. Il ne cherche ni la lumière, ni le devant de la scène. Il ne faut toutefois pas se fier aux apparences. Derrière cette simplicité se cache un homme passionné par la réflexion, l’écriture et l’art sous toutes ses formes, toujours en quête de beauté et d’harmonie.

Bernard Waeber est imprégné de cette culture humaniste : le savoir, la tolérance, le respect de l’homme et de l’environnement, l’ouverture au monde mais aussi l’esprit critique. Des valeurs qui lui servent de boussole. A l’adolescence, il se passionne pour la philosophie, tente de comprendre la relation de l’être à l’esprit. Il est en même temps très attiré par la poésie : Apollinaire, Supervielle, Prévert, Guillevic, Michaux, Cheng, Bobin. Ses premiers poèmes sont d’ailleurs récompensés par un prix.

Mais c’est la raison qui l’emporte et amène Bernard Waeber à entreprendre des études de médecine. Après Boston, c’est le CHUV où il devient alors ce professeur dont les qualités sont reconnues et appréciées aux quatre coins de la planète. Ses nombreuses publications et ses conférences sur l’hypertension jalonnent sa carrière académique et clinique. L’écriture est déjà bien présente.

Au moment de la retraite, Bernard Waeber estime qu’il est temps de laisser tomber la blouse blanche. Le besoin d’écrire s’impose. Le Fribourgeois se lance alors avec frénésie et gourmandise dans la rédaction de poèmes. Il aime jouer avec les mots. Un vrai magicien mais qui applique la même méthode que dans la médecine : la discipline.

L’écriture de Bernard Waeber est riche en image, précise et spontanée. Il aborde sans tabou les thèmes de la vie : l’enfance, l’amour, la femme, la mémoire. Et la mort. L’homme est curieux. Avec une approche toute scientifique, il observe ce qui l’entoure et le décrit avec une très grande sensibilité et parfois avec un brin d’humour.

Le désir de savoir, de connaître, pousse Bernard Waeber à approfondir de nouveaux horizons. La peinture, un prolongement naturel de la poésie, tant les deux sont complémentaires. L’artiste puise son inspiration dans la 2ème Ecole de Paris. Il se plonge avec enthousiasme dans l’univers abstrait, où il peut décliner toutes les nuances et les subtilités de cet art majeur.

Les tableaux de Bernard Waeber dévoilent une personnalité solaire qui explose dans ses tâches de couleur et ses formes. Son sens créatif éveille, émoustille notre imagination, laissant au public le plaisir de voir ce qu’il veut voir. Il aime à dire qu’il ne se prend pas la tête. Sans oublier son art gestuel qui traduit si bien ses émotions comme dans ses poèmes.

Texte de Anne Dousse

Events

Exposition permanente
de notre galerie

La galerie Farani a pour vocation de promouvoir l’art sous toutes ses formes et de surprendre. Elle aime relever les défis et sortir de l’ordinaire. A peine le vernissage de sa première exposition terminée, voilà qu’elle donne rendez-vous aux Fribourgeois et aux autres Confédérés,  à découvrir son exposition permanente.

Les oeuvres des artistes , Nadège Demont-Poyet, Véronique Reper et Bernard Waeber y sont exposées. 

Pour une visite, prière de nous contacter.

Contacts ;     077 416 03 79
                       079 589 68 38

Fonds de solidarité

Le Neojiba
de Ricardo Castro

Notre participation

Toujours à la recherche de fonds pour construire de nouveaux bâtiments, acheter et réparer des instruments. Aussi Fabienne et Nicolas, des amis de longue date de Ricardo, ont décidé qu’une partie des bénéfices de Farani Gallery sera consacrée à Neojiba. Une manière de montrer que la solidarité existe entre tous les Arts.

« Je n’ai pas de souvenir sans musique », confie Ricardo Castro. Elle a bercé toute son enfance, son adolescence et sa vie d’adulte. Elle s’est imposée à lui tout naturellement. Dès l’âge de trois ans, en assistant aux cours de sa sœur aînée avec sa tante, il démontre une aisance innée à jouer du piano. A dix ans, il joue en soliste le Concerto pour piano en ré majeur de Haydn. Une passion était née. Elle ne le quittera plus. Aujourd’hui, le pianiste est reconnu dans le monde entier comme un musicien d’excellence.

 Ricardo Castro est né au Brésil. Un pays de musique et de cultures où tous les styles s’entremêlent. Une ouverture sur les autres. Un esprit qui a toujours animé la famille du jeune pianiste, très sensible au monde des arts.  Elle lui inculque le goût de la beauté, de la grandeur mai aussi de la discipline. « J’ai été bercé par les grands maîtres Wilhelm Furtwängler, Arthur Rubinstein et bien d’autres Je voulais jouer à leur niveau », raconte le musicien. C’est ce qu’il réalisera.

 En 1984, Ricardo Castro part en Europe pour commencer ses études musicales. Il entre au Conservatoire de musique de Genève dans la classe de la virtuose Maria Tipo. Une période des plus enrichissantes. « Mes professeurs avaient à cœur de partager leurs connaissances et leurs expériences ». Trois ans plus tard, il est diplômé du Conservatoire de Genève avec le Premier Prix, une Distinction et les félicitations du Jury. Peu après, il complète sa formation avec Dominique Merlet à Paris.

 Soliste brillant, chef d’orchestre, Ricardo Castro est invité à jouer et à diriger dans les plus prestigieuses salles de concert, dont le Barbican Centre et Queen Elizabeth Hall à Londres, le Philharmonie de Paris ou Concertgebouw d’Amsterdam. Parmi ses partenaires de scène figurent de grands noms comme Martha Argerich, Leif Segerstam, Simon Rattle, Midori et Antonio Meneses. Et Maria João Pires, avec qui le musicien a créé un duo de piano.

 Les prix ont jalonné la carrière du musicien dont le Premier Prix du Concours International de Piano de Leeds. Le Wimbledon du piano. « Un passeport nécessaire pour un Brésilien. Mon niveau d’excellence était reconnu », avoue Ricardo Castro.

 Mais quel est le lien avec Fribourg ? « C’est une ville que j’affectionne tout particulièrement. Elle m’a offert l’opportunité de pouvoir enseigner. J’ai obtenu le poste de professeur de virtuosité au Conservatoire. Je n’étais pas fait pour une vie de jet set. Je devais trouver un équilibre entre mes concerts et mon besoin de transmettre mon savoir », raconte Ricardo Castro. Aujourd’hui, le Brésilien devenu Suisse et après avoir enseigné 30 ans à la Haute École de Musique Vaud – Valais – Fribourg, est professeur e Responsable de Département à la Haute École de Musique de Genève.

 

Ricardo Castro a toujours ressenti le besoin de venir en aide à son pays. « Je voulais faire quelque chose qui ait un impact social », relève le musicien. Il va alors créer en 2007 à Bahia le projet Neojiba, un acronyme pour Núcleos Estaduais de Orquestras Juvenis e Infantis de Bahia, inspiré du « sistema » vénézuélien. Un projet qui a pour vocation de donner l’accès à la musique pour tous, en créant des chœurs et orchestres. Tout est gratuit, les cours, les instruments de musique, ainsi que leur entretient. Le programme accueille des jeunes de tous les milieux sociaux afin de leur apprendre à atteindre l’excellence et à cohabiter ensemble en harmonie. Réaliser une intégration sociale et non pas une inclusion sociale.

 Depuis sa création, Neojiba a bénéficié à plus de 30 000 jeunes et enfants. Le programme est financé par l’État de Bahia à hauteur de 70% ainsi que par des dons privés. Le budget s’élève autour de 5 millions de dollars par année et 200 personnes y travaillent pour accomplir leur mission. Ce sont des anciens élèves qui deviennent les professeurs. D’autres intègrent de grands orchestres. Ricardo Castro passe chaque mois quelques jours au Brésil pour être au plus près de ses étudiants.

 Neojiba est devenu un îlot d’excellence. « Nous montrons que tout est possible et que nous pouvons vivre avec nos différences. Un de mes élèves m’a dit un jour en entrant dans notre nouveau bâtiment, conçu par Nagata Acoustics, Maestro, c’est la première fois que j’entends le silence. Je me suis alors rendu compte de la grandeur du cadeau qu’on faisait à ces enfants ». 

Plus d’informations sur le site:  https://www.ricardocastro.com

Photo de José Piñol

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